Allemagne – France: le pari défensif raté des Bleus !

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Par Josué Cassé – 09/13 – 01:51 7 min.

Allemagne - France : le pari

@Maxppp

Allemagne - France : le pari défensif raté des Bleus !

Allemagne 2-1

Allemagne - France : le pari défensif raté des Bleus !

France

Au Signal Iduna Park de Dortmund, the Blues ont mis fin à leur excellente dynamique face à une Allemagne, pourtant en crisis (1-2). Infranchisable after the debut of the 2023 année, the tricolor defense – certes remaniée – a vécu une soirée pour le moins compliquée. Explanations.

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Sous the rainy sky of Dortmund, the heure était au changement ce mardi soir. Tout d'abord dans l'organigramme de la sélection german, quadruple championne du monde mais frappée par une crise profonde. Architecte de ces instable foundations, Hansi Flick is still there, important with his two rêves de disputer l'Euro 2024 at the tête de l'Allemagne, pays organisateur de la compétition (14 juin au 14 juillet prochain). Propulsé à la tête de la Mannschaft, Rudi Völler – nommé sélectionneur intérimaire en attendant la possible arrivée de Julian Nagelsmann – avait alors la urde tâche de jouer les pompiers de service face aux Bleus, finalistes du dernier Mondial au Qatar et plus que never en passe de rally le pays natal de John McEnroe l'été prochain. Des changes également perceptibles au sein des compositions de départ. Pour Didier Deschamps, deprived of Kylian Mbappé touché au genou, exit le 4-2-3-1 mis en place jeudi dernier contre l'Irlande.

Todibo, Saliba, Pavard… the perdants du soir!

Place à un 4-4-2 où Benjamin Pavard et Théo Hernandez débutaient sur les ailes alors que William Saliba, référé à Dayot Upamecano, était titreisé aux côtés de Jean-Clair Todibo, auteur de sa grande première avec les A. Au milieu de terrain, the 100% Madrid duo Eduardo Camavinga-Aurélien Tchouameni accompagnait, de son côté, Kingsley Coman et Adrien Rabiot, excentré à gauche. Devant, Randal Kolo Muani and Antoine Griezmann, capitaine du soir, commençaient. Returning to the German bank as number 1, after a first experience between 2000 and 2004 (29 wins, 11 losses and 13 losses in 53 matches), Rudi Völler opts for a 4-2-3-1. Présents lors de la dernière débâcle face au Japon (1-4), Nico Schlotterbeck, Joshua Kimmich et Kai Havertz sortaient du onze. Devant Marc André ter Stegen, Niklas Süle, Jonathan Tah, Antonio Rüdiger et Benjamin Henrichs formaient la défense allemande. Dans l'entrejeu et juste derrière Leroy Sané, Florian Wirtz et Serge Gnabry, Emre Can était quant à lui associé au capitaine Ilkay Gündogan. Seul sur le front de l’attaque, Thomas Müller frappait d’entrée.

À lire EdF: Kingsley Coman justifies the défaite des Bleus

Pris dans son sur une jolie combinaison entre Gnabry et Henrichs, Pavard laissait filer le latéral gauche du RB Leipzig. Ce dernier centrait en portrait où Müller, esseulé au cœur de la défense française, fusillait Maignan pour uvrir le score (1-0, 4e). Une action symbolisant malheureusement, à elle seule, les difficultés rencontrées par l’arrière-garde tricolore face aux Allemands. The failures confirmed in the latest moments of this new choc suite. Fautif sur sa relance, Todibo voyait alors Havertz lancer Sané en profondeur. Bien plus vif que Saliba et Tchouameni, l'attaquant du Bayern doublait la mise (2-0, 87e) et securisait ainsi la victoire des siens malgré la réduction du score trop late de Griezmann (2-1, 89e). Une fragility défensive uninhabituelle pour une équipe qui n’avait toujours pas encaissé le moindre but en 2023 mais une déroute justifiable à bien des égards. Sur le plan individuel tout d’abord avec de nombreuses performances plus qu’insuffisantes, à l’instar de Benjamin Pavard, William Saliba ou encore Jean-Clair Todibo…

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De retour dans el onze titulaire des Bleus, le nouveau joueur de l’Inter Milan – qui n’avait plus rejoué depuis le 12 août dernier – a logiquement payé son manque de rythme en match officiel. Three souvent pris à revers par la vitesse de Gnabry et les montées incessantes d'Henrichs, elu homme du match par la rédaction FM, le numéro 2 tricolore n'a pas marqué de points dans son match à distance avec Jules Kounde, entré en jeu peu après l'heure de jeu. Coupable d'un certain laxisme sur le premier but german et auteur de 9 pertes de balle, le natif de Maubeuge n'a, par ailleurs, que très peu apporté sur le plan offensif. Un constat également applicable à William Saliba, peu rassurant avec le ballon, souvent pris de vitesse et trop laxiste sur de nombreuses sequences. Pourtant réputé pour sa solidité de him avec les Gunners, le Bondynois de 22 ans, crédité d' un 3 par notre rédaction, a finalement affiché a very sad visage en terres allemandes. And what will I say about Todibo's great premiere… Plongé dans le grand bain, le défenseur de l’OGC Nice s’est, à plusieurs reprises, noyé. Pas exempt de tout reproche sur le premier but, il offrait finalement le second but sur une nouvelle erreur de relance.

Griezmann and Rabiot, main victims of a 4-4-2 décevant!

«This is a frustrating premiere in regard to the results, but it is preferable to rest on the dynamique that is not there after a moment. Personnellement pour moi, c'est un bonheur d'être sur le terrain, malheureusement sur le deuxième but c'est moi qui perd le ballon mais d'un point de vue personnel, je le vois bien, je dois encore bosser, je n 'As the rater's right is passed, it is good for me, so I can learn. Le coach m’a félicité pour ma première. Sur le but, il m’a dit d’assurer ma passe, qu’à ce level là, je n’avais pas le droit de la rater.», regrettait d’ailleurs l’intéressé présent en zone mixedte. In addition to the individual performances that have been established at the international level, this défaite s'explain, également, par le manque d'automatismes d'une défense peu expérimentée (11 sélections au total pour la charnière centrale) et finalement pas habituée à jouer ensemble. Symbole de cet apprentissage – encore en cours – l’absence de connexion entre Todibo et Pavard où les deux hommes ont souvent tergiversé dans leur communication, faisant preuve, par ailleurs, de quelques lacunes dans leurs compensations respectives.

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«Ca arrive parfois. Nous sur la pointe des pieds, et eux agressifs. On était en retard. On this moment it is presented more after assez actif. Il y a eu des décalages et on est pas assez près. Avec la qualité de ces joueurs, ça a fait mouche pour eux. Ce n'est pas ce que j'attendais. Je ne vais pas enfoncer le clou, il y a des circonstances atténuantes. On n'était plus habitués à perdre. But the remise in question… the high level is impitoyable. L’Allemagne n’a pas eu énormément d’occasions. On the occasion of the debut of a match that demands the third high level, he declared, at this title, Didier Deschamps on the microphone of TF1 before remettre une couche en press conference: «si on a perdu, c’est qu’on n’a pas bien fait les choses face à une Allemagne très aggressive. The debut of the match is catastrophic in terms of aggression and intentions, and allows you to see the score. This is a once that happens in the habit of débuter, and avait de l'adversité mais ils ont besoin de temps de jeu pour qu'on les voie, ça demandera répétition aussi. In the changes, certain contraints and forces are required due to the entry into the country (Monday), where Dayot Upamecano and Kylian Mbappé are concerned. From the moment Kylian does not start, because of a problem with his patella tendon, there is nothing to do between what will improve his situation. This is the time for Upamecano, it is not ready to start.”.

Contraint to changing his plans, Didier Deschamps still opted for a 4-4-2. Un système tactique qui aura, certes, permis aux Bleus de graver une deuxième étoile sur leur maillot, mais qui s’est, une nouvelle fois, montré défaillant. A jouant organization, for ailleurs, des tours à certains cadres tricolores, à l'instar d'Adrien Rabiot, excentré à gauche et bien moins impactant, ou encore Antoine Griezmann, associé à Randal Kolo Muani à la pointe de l'attaque et coupable d'un déchet technique unusual malgré son but tardif sur penalty. Interrogé sur le dispositif décidé par son sélectionneur, Kingsley Coman ne souhaitait, pourtant, pas puller de conclusions hâtives… «Ça dépend, c’est un match seulement, on ne peut pas player sur un match. Avec le 4-4-2, l’equipe a été championne du monde (rires), on a gagné beaucoup de matches donc il ne faut pas tout jeter après un mauvais match». Une chose est sûre, avec ce système peu efficient, une équipe remaniée et une defense aussi jeune que friable, le pari tenté par Didier Deschamps pour pallier les absences de Kylian Mbappé ou encore Dayot Upamecano n’aura pas fonctionné. Opposée aux Pays-Bas le 13 octobre prochain, the French team pourrait alors revenir à un schéma et des fondamentaux jusqu’alors si seduisants…

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